Voici le début d'une présentation plus "littéraire" (j'en ferai une plus marrante...suivant mon humeur
)
Nuit éternelle, feux follets hypnotiques, chemins éthérés des forêts elfiques : voici la patrie d’Annadae.
Ruines sans nom, chemins sans destination, pierres sans âge, c’est la voie qu’il s’est tracée. C’est le voyage d’un chasseur singulier, à l’affût non d’hommes, bêtes ou créatures difformes de la horde, seulement à la recherche de ce qui est caché, d’un murmure ou d’une légende.
Voilà pourquoi, il n’est pas impossible de le rencontrer aux confins du monde, par delà ce que les cartes permettent de trouver, croyant débusquer des paroles ou des vestiges d’une sagesse perdue.
Attaché à tout ce qui pousse et vit, Annadae n’a que faire des engrenages complexes des ingénieurs et ne saurait pénétrer complètement les secrets des forgerons.
Son inclination pour la nature l’a poussé à développer des talents d’herboriste et d’alchimiste.
Annadae ne voyage pas seul.
Blanc zébré de noir, gueule béante, mâchoire d’acier, péril mortel pour un ennemi, compagnon précieux, Flocon accompagne chacun des pas du chasseur elfe.
Sa fourrure est douce et épaisse, Flocon sait se montrer aussi amical et tendre qu’il est impitoyable et enragé quand sonne la charge. Son rugissement est tel un souffle d’effroi balayant l’espoir de ses adversaires.
Pour les amoureux des stats
http://worldofwarcraft.judgehype.com/index.php?page=profil&p=28188la même chose pour Elendûr
Elendûr du temps mouvementé de ses études de jeune clerc, ce même temps où, peu soucieux des règlements, il écumait les tavernes peu en vue, fréquentait des jeunes filles de petite vertu, et finissait ses nuits souvent loin de toute gloire dans la rue ; notre vaillant paladin, donc semblait bien hésitant sur la voie à suivre.
Lui fallait-il céder aux sirènes du brigandage de la voile sanglante ? Lui fallait-il répondre à l’appel de la lumière qu’il avait indéniablement remisé au plus profond de lui ?
Cette perplexité commençait à le ronger, peuplant même désormais ses soirs de beuverie, ce genre de soir où il est possible de se poser des questions aussi existentielles que celles relatives à l’origine des Murlocs, l’intelligence d’une palourde, la vie de famille d’une goule glaciale, et d’en mélanger à loisir les propos et conclusions.
Mais le plus défroqué des moines ne peut rester totalement insensible à l’injustice, et aux lents tourments de vies outragées.
Massacres en règle, pillages de villages, allant même jusqu’à celui des stocks de bière de Thunderbrew…c’en était trop.
Les brigands, les êtres malfaisants, tous ceux, méprisables, dont il commençait à se rapprocher, lui semblaient désormais si vils. S’en éloigner, souffler sur les braises d’une foi qu’il avait trop longtemps étouffée, voilà ce qui l’animait lorsqu’il pénétra à nouveau dans les lieux de culte d’Elwyn.
Aujourd’hui, il prodigue ses soins à tous ceux que le mal atteint et corrompt.
Contre ses ennemis, il forge les armes de sa foi par les flammes de son courroux et l’acier de sa volonté.
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ma blague a deux balles....